Épisode 5

Quel scénario élaborer pour réaliser une vidéo efficace ?

Cette websérie analyse les processus à l’œuvre dans la scénarisation, la médiatisation et l’intégration de ressources pédagogiques à des fins d’apprentissage, avec le numérique.

Comment concevoir un scénario efficace pour que vos élèves apprennent vraiment quelque chose ?
Comment capter leur attention et la conserver jusqu’au bout de la vidéo ?

Ce cinquième épisode de la série décryptage s’adresse à tous les enseignants et les formateurs qui réalisent des vidéos à des fins pédagogiques et qui, comme nous ici, se posent des questions pour faire mieux.

Mis à jour le mercredi 11 octobre 2023

QUEL SCÉNARIO ÉLABORER POUR RÉALISER UNE VIDÉO EFFICACE ?

Bonjour, et bienvenue dans la série décryptage, consacrée à la scénarisation pédagogique avec le numérique.
Cette websérie s’appuie sur des travaux de recherche dont les références apparaîtront au fil de la présentation. Vous retrouverez l’ensemble de ces références en fin de vidéo. 

Vous avez le projet de réaliser une vidéo pour vos élèves et vous vous demandez :

  • Comment concevoir un scénario efficace pour que vos élèves apprennent vraiment quelque chose ?
  • Comment capter leur attention et la conserver jusqu’au bout de la vidéo ?

C’est ce que nous allons explorer tout de suite dans cet épisode.

Définition

Le scénario d’un film décrit tout ce qui sera vu et entendu, avec le plus de précision possible.
Pour concevoir le scénario d’une vidéo pédagogique, vous devrez tout détailler, en vous focalisant à la fois sur les apprentissages que la vidéo devra favoriser mais aussi sur les moyens utilisés.
Or, lorsque vous demandez à des participants de consulter une vidéo pédagogique, notamment quand ils sont à distance, le risque est grand qu’ils ne soient pas motivés et qu’ils décrochent très vite s’ils la regardent.

Vous devez donc d’abord donner envie aux participants de regarder votre vidéo.
Et une fois que vous avez capté leur attention, vous devez réussir à la conserver jusqu’au bout.
Voici 7 questions qui vont vous aider à concevoir le scénario le plus efficace et motivant possible.

1- Première question : quel est l’objectif pédagogique de votre vidéo ?

Pour vous aider à mieux comprendre la démarche, je vais m’appuyer sur deux vidéos.
La première est un épisode de l’émission “C’est pas sorcier” diffusée sur France 3 en 1999, consacré à la première guerre mondiale.
(lien : https://youtu.be/3LrPAz4cjh0)
L’objectif pédagogique de cette première vidéo pourrait être formulé de la manière suivante :
Comprendre l’histoire de la première guerre mondiale : quand et pourquoi la guerre ? confronter différentes sources historiques pour retracer les événements.

La seconde vidéo, intitulée “le vaccin”, a été publiée sur la chaîne YouTube de Jamy Gourmaud en février 2021.
(lien : https://youtu.be/cdRUrvhfDWQ)

L’objectif pédagogique de cette deuxième vidéo est de comprendre comment fonctionne un vaccin.

À votre tour.
Pour formuler un objectif simple, vous pouvez vous aider de la taxonomie révisée de Bloom avec les verbes d’action se rappeler, comprendre, appliquer, analyser, évaluer ou créer.
Bien entendu, vous pouvez également vous appuyer sur les objectifs des programmes.

2- Deuxième question : quel contenu allez-vous choisir ?

Quelles connaissances, savoir-faire ou compétences voulez-vous cibler ?
Pour éviter la surcharge cognitive, vous ne devrez conserver que ce qui est vraiment essentiel pour atteindre l’objectif pédagogique visé.

Vous devrez également vérifier que la vidéo sera bien comprise par tous les apprenants.
Tenez compte de leur niveau de connaissances du sujet abordé et du contexte dans lequel vous souhaitez réaliser cette vidéo et posez-vous les questions suivantes :

  • Quelle quantité d’informations allez-vous proposer ?
  • Quel niveau de détail et d’abstraction allez-vous choisir pour votre discours ?
  • Sur quels exemples allez-vous vous appuyer pour illustrer votre propos ?

Le chercheur Lowe (2003) évoque deux risques que vous devez tenter d’éviter.

  • Le premier risque pour l’apprenant est d’être submergé par un nombre d’informations à traiter trop important, que ce soit sur la totalité de la vidéo ou à un instant T. (overwhelming)
  • Le second risque pour l’apprenant est au contraire d’avoir une illusion de facilité qui le pousse à adopter une attitude trop passive, voire à se désengager cognitivement : (underwhelming)

3- Troisième question : quelle sera la durée de votre vidéo ?

Comme la durée d’attention des participants est inégale et limitée, votre vidéo gagnera à être courte.
Je l’avais déjà évoqué, le chercheur Bruno Poelhuber recommande de ne pas dépasser une dizaine de minutes.
Mais votre sujet peut nécessiter un développement plus long, et c’est le cas de cet épisode. Pensez alors à relancer l’attention à intervalles réguliers et à soigner tout particulièrement la scénarisation de votre vidéo.

4- Quatrième question : qui parlera dans la vidéo ? Cette personne sera-t-elle visible ? Y aura-t-il d’autres intervenants ?

Dans une publication de 2019, Baptiste Campion, Daniel Peraya et Claire Peltier soulignent l’intérêt de filmer le présentateur. Ils montrent que cela permet de créer une relation socio-affective entre l’enseignant et les apprenants distants. Même si cette relation est médiatisée, elle aurait un impact sur la motivation des apprenants, leur engagement cognitif et leur persistance.
André Tricot, dont j’ai cité les travaux dans le premier épisode, mentionne par ailleurs l’importance de voir à la fois le visage et les mains du présentateur et de favoriser tout ce qui permet de diriger l’attention des apprenants vers ce qui est important.
Boucheix évoque lui aussi l’efficacité prouvée des vidéos montrant des procédures gestuelles en les mettant en relation avec la capacité naturelle des êtres humains à apprendre des tâches qui impliquent des mouvements, des activités motrices, en observant les gestes d’autrui.
Mayer précise que la voix humaine est plus engageante qu’une voix synthétique et que la présence à l’écran d’un présentateur incarné est encore plus efficace, notamment grâce au langage paraverbal. C’est le cas selon lui, à condition que le présentateur réalise des gestes signifiants et maintienne un contact visuel. Grâce à cette sorte de partenariat social l’apprenant fait plus d’efforts pour comprendre le message pédagogique et apprend ainsi plus profondément.
Si en revanche le présentateur ne regarde pas l’apprenant et n’engage pas cette relation calquée sur le réel, le présentateur devient un distracteur selon lui.
Quand les informations affichées deviennent trop complexes, il est également préférable de ne filmer que l’élément à observer sans le présentateur.
Vous pouvez donc alterner des moments où le présentateur est visible, regard caméra, mains bien dans le champ et d’autres où vous ne montrez à l’écran que ce qui est pertinent.

5- Cinquième question : quel environnement visuel et sonore allez-vous choisir ?

Montrer les lieux

Les chercheurs Campion et Peltier soulignent l’importance de ne pas laisser le spectateur à l’extérieur de l’action et d’ancrer le discours dans un réel signifiant.
Le spectateur comprend mieux et s’engage plus quand la scène filmée lui permet de reconstituer des images mentales, des lieux, un décor qu’il peut identifier.

Extrait : « T’as vu tous ces cratères autour de moi ? Eh bien ce sont en fait des trous d’obus. C’est te dire la violence des combats qui ont eu lieu dans la région. »

Utiliser des illustrations concrètes

Les chercheurs évoquent également l’intérêt des objets signifiants dans ce décor, et notamment la manipulation concrète d’objets par le présentateur pour favoriser la compréhension.
Comme tout est signifiant pour les spectateurs, faites attention à tout ce qui est visible à l’écran. Un objet ou une situation incongrue deviendra immédiatement un distracteur pour les apprenants.
Par exemple, Willingham évoque l’anecdote suivante. Une enseignante d’histoire a cru bien faire en s’habillant en toge pour faire un cours sur la Rome antique. Les élèves, hilares, se sont focalisés sur sa tenue inhabituelle et ne sont pas parvenus à se concentrer sur le contenu du cours.
Mayer qualifie ce type de distracteur de « détail séduisant », à manier avec précautions.

Par ailleurs, pour faciliter les apprentissages, vous devez veiller à orienter l’attention des apprenants dans la bonne direction.
Ce guidage visuel est essentiel.
Pensez bien à synchroniser ce que vous dites et ce que vous montrez et à guider l’attention des élèves vers l’endroit pertinent au moment pertinent.

Exploiter l’environnement sonore

L’environnement sonore est plus rarement exploité dans une vidéo pédagogique. Pourtant, il contribue fortement à la représentation mentale du réel évoqué, ou à la production du sens.
Une musique instrumentale, par exemple, pourra générer de l’émotion.

Extrait : "En hiver, on vit dans le froid et dans la boue et c’est sûrement pas la soupe préparée en deuxième ligne qui aide beaucoup à remonter le moral." (violons)

Pensez à choisir une musique libre de droits.
Si en revanche les sons utilisés n’ont qu’une fonction décorative, alors ils ne doivent pas distraire l’attention ou couvrir les autres informations importantes.

6- Sixième question : quel type de discours est le plus efficace ?

Dans une vidéo pédagogique, le discours verbal occupe une place importante.
Les chercheurs Campion et Peltier indiquent que pour créer une relation à distance avec les apprenants, il est nécessaire de les interpeler directement, de les mobiliser cognitivement avec des exemples et des questions, des conseils ou des consignes.
Voici quelques-unes de leurs recommandations.

Premier conseil, utiliser des tournures engageantes

N’hésitez pas à vous adresser directement à l’auditeur en employant les pronoms "vous" ou "tu" et vous impliquant dans le discours avec la première personne.

Extraits : “Je vais vous montrer.” “Je vais vous montrer.” “Vous le voyez.” “Vous le voyez.”

Vous pouvez également avoir recours à des tournures performatives. Il s’agit d’énoncer une action tout en la réalisant  :

  • « Je vous conseille de »
  • « Je vous invite à », par exemple

Vous pouvez aussi utiliser l’impératif  :

Extraits : « Allez, suivez-moi, parce que là, on peut vraiment en faire un fromage. »

Vous pouvez enfin avoir recours à des tournures visant à maintenir la communication :
« Vous êtes là ? »
« Vous m’entendez ? »
« Vous êtes bien attentif ? »

Extrait : “Ben je sais pas vous, mais là je me sens mieux”

Deuxième conseil, poser une question motivante

Si vous parvenez à attiser la curiosité des auditeurs par une question motivante, ils vont vouloir rester pour écouter la réponse.
Proposez-leur une énigme à résoudre, un défi à accomplir, ni trop simple, ni trop complexe.
Willingham dit que “Nous aimons réfléchir à des problèmes dont le niveau de difficulté nous convient, ni trop simple ni trop complexe.”
Il ajoute que quand le cerveau parvient à résoudre un problème, il s’auto-récompense en sécrétant une petite dose de dopamine.
Il peut donc y avoir un lien réel entre apprentissage et plaisir ! À vous de stimuler ce lien.

Extrait : “Chaque virus a sa cible. Certains visent les cellules du système respiratoire, par exemple. Comment y rentrent-ils ? »

Troisième conseil : parler de manière imagée

Les chercheurs Campion et Peltier évoquent également l’intérêt des métaphores et des analogies pour rendre un concept plus accessible.

Extrait : “Considérons que l’atelier représente l’organisme.”
Extrait : “Tiens, ça tombe bien, tu ressembles à un virus.”
Extrait : “Pour faire simple, disons que chaque virus possède une clé spécifique et que les cellules visées possèdent la serrure”

Quatrième conseil : raconter une histoire

La narration est également un levier puissant pour engager les participants, plébiscité depuis l’antiquité dans tous les manuels de rhétorique.
N’hésitez pas concevoir votre scénario comme une histoire.
Willingham évoque trois avantages à cela : Les histoires sont intéressantes, elles sont faciles à comprendre et faciles à retenir.

Cinquième conseil : faire de l’humour

Si vous faites un trait d’humour, vous allez placer le participant dans une posture de détente et de connivence. Il sera plus réceptif à ce que vous allez lui proposer.

Extrait vidéo : “Et le vaccin dans tout ça ? Il faut que je vous fasse une petite piqure de rappel ?”
« La RN « M », qu’y z’ont dit… J’en vois pas moi, de route nationale « M ». »

 Sixième conseil : jouer sur les émotions

Le pathos du grec ancien pathos (πάθος « passion, émotion ») est un des trois piliers de la rhétorique antique. Pour persuader un auditeur, d’agir ou de s’engager, les émotions peuvent être particulièrement efficaces.
Dans le cadre d’un apprentissage, l’émotion est intéressante quand elle est en concordance avec le sujet évoqué (principe de congruence) et quand elle ne constitue pas une charge cognitive supplémentaire concurrente.
Dans la vidéo sur la première guerre mondiale, l’empathie est un ressort qui est utilisé pour vous faire ressentir la difficulté de la vie des poilus dans les tranchées et vous aider à mieux vous représenter l’horreur de cette guerre.

Extrait vidéo : "Chers parents, je ne sais pas si je pourrai dormir dans un lit à présent, on est habitués à coucher par terre sur la paille, quand on peut en trouver. J’ai enlevé mes souliers cette nuit pour dormir, il y avait au moins quinze jours que je ne les avais pas quittés."
Lettre de Georges Gallois
"Je suis redescendu de première ligne ce matin. Je ne suis qu’un bloc de boue, et j’ai dû faire racler mes vêtements avec un couteau car je ne pouvais plus me traîner."

7- Septième question : quel accompagnement allez-vous proposer ?

Si les vidéos étaient efficaces seules, la télévision aurait remplacé l’école il y a longtemps.
Or, vous êtes bien placés pour savoir que ce n’est pas le cas.

Donner des conseils méthodologiques (métacognition)

Comme je l’ai déjà évoqué dans le premier épisode, la plupart des apprenants ne sont pas autonomes et ne maîtrisent pas les méthodes efficaces pour apprendre.
Même si vous avez réalisé le meilleur scénario possible, cela ne sera pas suffisant.
Ce qui va manquer, ce sont les conseils méthodologiques, tout ce qui relève de la métacognition.
Certains apprenants ne savent pas que s’ils cèdent à d’autres sollicitations concurrentes, par exemple en regardant leur téléphone portable, en jetant un œil sur les notifications des réseaux sociaux en même temps qu’ils écoutent en parallèle la vidéo, leur attention se disperse au détriment des apprentissages.
De même, comme le rappelle Tricot (2021), les apprenants ne savent pas forcément qu’il est utile de faire des pauses et de revenir en arrière pour réécouter un passage complexe. Ils ne savent même pas forcément où il est pertinent de faire des pauses.
D’après les chercheuses Berney et Bétrancourt, conseiller aux élèves de faire des pauses ne suffit pas.
Si vous en avez la possibilité technique, le plus efficace est de rendre ces pauses obligatoires.
Les élèves ne savent pas non plus qu’il est essentiel de prendre des notes.
C’est donc à vous de leur prodiguer des conseils méthodologiques au cours de la vidéo, ou en accompagnement.

Articuler la vidéo avec le cours

Un bon scénario devra donc penser la place de cette vidéo dans un ensemble pédagogique plus vaste.

  • À quel moment avez vu prévu que la vidéo soit visionnée ?
  • Avant le cours ? Pendant ? Après ?
  • Quel accompagnement avez-vous prévu ?

Quand je parle d’accompagnement, je pense notamment à la présentation de la vidéo en amont et aux consignes que vous allez donner à vos élèves, avec les conseils méthodologiques évoqués juste avant.

Je pense aussi au suivi collectif et individuel.

  • Comment allez-vous vérifier que la vidéo a été consultée ?
  • Comment allez-vous vous assurer que la vidéo a été comprise ?
  • Quelles activités allez-vous proposer pour favoriser la mémorisation ?

Les participants mémoriseront d’autant mieux qu’ils seront amenés à réaliser une activité remobilisant les connaissances, les procédures ou les compétences travaillées dans un autre contexte. Se questionner, reformuler, résumer, appliquer, produire un contenu, etc.

Quel retour allez-vous prévoir si jamais vous choisissez d’accompagner la vidéo de questions permettant de vérifier des connaissances ou si vous invitez les participants à réaliser une tâche de transfert ?
Ce retour qu’on appelle feedback en anglais pourra être automatisé ou personnalisé.

Écriture

Maintenant que vous avez tous les éléments pour construire votre scénario, vous vous demandez certainement comment le mettre en forme.

Ce scénario pourra prendre la forme d’un texte où vous alternerez description et dialogues ou bien d’un tableau.
Pour compléter, vous pouvez vous appuyer sur différents outils visuels, une carte mentale, un schéma, un diaporama ou même sur un storyboard.
Choisissez un plan clair et bien structuré. Et pour favoriser compréhension et mémorisation, pensez à le présenter de manière explicite dans la vidéo.
Pour finir, les chercheurs Cojean et Jamet évoquent même l’intérêt d’une table des matières interactives pour aider les apprenants à construire un modèle mental plus cohérent.

Conclusion

Dans cet épisode de décryptage, nous avons passé en revue les différentes questions à vous poser lorsque vous écrivez le scénario d’une vidéo pédagogique.

Cet épisode est indissociable des autres épisodes consacrés à l’efficacité pédagogique, à l’ergonomie cognitive, à l’accessibilité ou encore au tournage et au montage que vous pouvez consulter en complément.


Bibliographie

  • Berney, Sandra, Betrancourt, Mireille. Does animation enhance learning ? A meta-analysis. In : Computers & Education, 2016, vol. 101, p. 150-167. doi : 10.1016/j.compedu.2016.06.005 https://archive-ouverte.unige.ch/unige:92234
  • Claire Peltier et Baptiste Campion, « Constructions langagières, relation et cognition dans les capsules vidéo des MOOC », Distances et médiations des savoirs [En ligne], 21 | 2018, mis en ligne le 20 février 2018, consulté le 07 mai 2021. URL : http://journals.openedition.org/dms/2125 ; DOI : https://doi.org/10.4000/dms.2125
  • Claire Peltier et Baptiste Campion, « Regards pédagogique et communicationnel sur les capsules vidéo dans les MOOC », Distances et médiations des savoirs [En ligne], 18 | juin 2017, mis en ligne le 21 juin 2017, consulté le 07 mai 2021. URL : http://journals.openedition.org/dms/1827 ; DOI : https://doi.org/10.4000/dms.1827
  • Jean-Michel Boucheix, Apprendre avec des images et des animations multimédias interactives, 2018
  • Baptiste CAMPION, Claire PELTIER, Daniel PERAYA. Analyse communicationnelle de vidéos de Moocs : quelle magistralité les choix discursifs construisent-ils ? In : Revue éducation et formation, 2019, n° e-313. https://archive-ouverte.unige.ch/unige:124309
  • Cojean, S., & Jamet, E. (2021). Does an interactive table of contents promote learning from videos ? A study of consultation strategies and learning outcomes. British Journal of Educational Technology, 00, 1–17. https://doi.org/10.1111/bjet.13164
  • Bruno Poellhuber Des balados vidéo pédagogiques de qualité, dans T. Karsenti & J. Bugmann (dir.), Enseigner et apprendre avec le numérique. (p.112). : PUM.
  • Daniel T. Willingham, Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école !
  • Mayer RE. E-Learning : New Opportunities and a View of the Future The Oxford Handbook of Lifelong Learning, 2012. DOI : 10.1093/oxfordhb/9780195390483.013.0081
  • Lowe, R. K., Animation and learning : selective processing of information un dynamic graphics, 2003.
  • Puma, S. & Tricot, A. (2021). Prendre en compte la mémoire de travail lors de la conception de situations d’apprentissage scolaire. A.N.A.E., 171, 217-225.
  • Krathwohl, D.R. (2002). A Revision of Bloom’s Taxonomy, An Overview. Theory into Practice,41(4), pp. 212-218

Compléments :
Voir les autres épisodes de la série Décryptage

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Article rédigé par Anne-Cecile Franc